Chaque annonce d’un nouveau Zelda est la résultante de longues attentes appâtées de joueurs et la consécration d‘un nouveau style de jeu pour Nintendo. Quant à la sortie le jour J, la conséquence en est toujours la cohue et la précipitation des fans, dont moi même, vers certains magasins, n’hésitant pas à attendre deux heures avant l’ouverture de celui ci pour avoir le Zelda tant attendu, si même je n’en prends pour mes amis. Mais aussi, depuis le développement d’Internet, le compte à rebours avant la sortie d’un nouvel opus est souvent organisée via des topics nombreux dans divers forums où les fans échangent leurs avis.
Mais il en est tout autre pour ce Zelda Four Swords +.

Il y a un peu plus d’un an (28 mars 2003) maintenant (ce test étant rédigé le 12 avril 2004), nous avons vu la réédition de ‘Zelda 3 : A Link to the Past’ sur GameBoyAdvance(SP), mais Nintendo, en collaboration avec Capcom, en avait profité pour rajouter un mode de jeu inédit nommé : ‘Zelda 4 swords’, qui était seulement jouable en multi joueurs, via les câbles link et plusieurs cartouches. Seulement un faible pourcentage de joueurs a alors pu s’adonner à ce fabuleux jeu multi joueurs où s’entremêlent coopération et coups fourrés dans des maps (cartes) remplies d’énigmes et de rubis.
C’est peut-être cette restriction conçue par l’obligation de jouer en multi joueurs à ce Zelda Four Swords, appuyée par la communication de Nintendo qui, comme a son accoutumée, privilégiant le multi joueurs et appuyant (trop ?) sur cet aspect lors de la promotion de Zelda four Swords +, qui a fait que seulement 15% des fans japonais de Zelda se sont essayés à ce nouvel opus sur Nintendo Gamecube.

Mais qu’entends-je donc lors de ce dernier paragraphe ? Oui, contrairement aux idées reçues, Zelda Four Swords + peut se jouer en solo, même si Link aura alors la compagnie de ses trois autres collègues pour son aventure. Mais non, vous ne pourrez pas tirer parti à 100% de ce dernier Zelda si vous ne connaissez pas de une à trois personnes qui pourront jouer en votre compagnie, et qui, de plus possède(nt) une GBA(SP). Vous avez bien lu, malgré un air de contradiction, je ne fais aucune erreur ; je m’explique :
Pour la première fois dans un Zelda, vous aurez le choix entre trois modes de jeu bien différents.

• Le premier mode, que je nommerai ‘mode aventure’, permettra à Link et à ses compères, comme dit précédemment, de parcourir la plaine d’Hyrule, de visiter des villages et des donjons à la recherche de quoi donc ??? Je le détaillerai plus tard, dans le chapitre concerné ;)
• Le second mode, nommé ‘Shadow Link’ est en fait un mini jeu uniquement orienté multi joueurs (donc non jouable en solo), où le style des maps me fait rappeler un certain ‘Bomberman’. Bref il faut se battre, tous les coups sont permis, même le carottage de cœur en balançant une cocotte sur un de ses adversaires, et le survivant sera le vainqueur…jusqu’à la prochaine partie ;)
• Le troisième et dernier mode de jeu se nomme ‘Tetra’s Trackers’. Vous vous souvenez de notre douce pirate Tetra de Zelda : Wind Waker, et bien cette dernière a décidé d’inviter Link et jusqu’à ses trois compagnons (ou Tingle si vous jouez en solo) pour une partie de chasse au trésor…Mais dirigé par sa troupe de pirates d’élites ;)

Souvenez-vous de la brise glacée qui figea nombres de joueurs et de fans lors du spaceworld en août 2001 où la première vidéo de ‘The Legend of Zelda : the Wind Waker’ fût montrée ; graphismes cell-shadés, enfantins mais criants d’expressions. Beaucoup sont restés bouche bée en croyant voir un fake (fausse vidéo), jusqu’à la sortie du jeu ou la magie de ce premier Zelda sur Gamecube fût instantanément comprise par les joueurs, même si certains regrettèrent le faible nombre de donjons.
La même sensation, mais dans une moindre mesure, se produisit lorsque Nintendo annonça Zelda Four Swords + sur Nintendo Gamecube, où dans un premier temps l’on aperçut des graphismes en 2D mais surtout obligeant la connexion GBA. Ayant fini ce dernier Zelda, je peux vous dire que la sensation en est toute autre, et nous sommes lors de chaque niveau du mode aventure, étonné par les énigmes et la créativité de Nintendo, ces derniers s’étant vraiment défoulés pour inventer des énigmes utilisant cette connexion ; mais la restriction peut être de taille pour certains joueurs, sur les trois modes de jeux exploitant parfaitement la connectivité NGC->GBA(SP), deux sont obligatoirement jouables avec une GBA(SP) : Le mode ‘Shadow Link’ et le mode ‘Tetra’s Trackers’. Mais heureusement, concernant le mode ‘aventure’, la GBA peut-être simulée via un GB Player sur l’écran…inutile de vous dire que les graphismes sont bien moins fins que sur GBA(SP), mais à défaut d’en avoir une, vous pourrez jouer à la manette lors de cette quête pour récupérer son identité ; voyons en maintenant plus en détails la description.

Jeu principal de ce Zelda Four Swords +, il permet de vivre une aventure dans le monde d’Hyrule de un à quatre joueurs. Comme dit précédemment, si vous jouez en multi joueurs, il faudra obligatoirement un nombre de GBA(SP) identique au nombre de joueurs, sinon en un joueur, la manette sera suffisante.

Link appelé de tout urgence par la princesse Zelda car les six déesses, sept avec Zelda, ont remarqué une chose étonnante concernant « l’épée de quatre » précédemment scellée (aventure dans Zelda Four Swords sur GBA). Mais c’est à ce moment là qu’un Shadow Link apparut, enferma les déesses dans des cristaux et emmena avec lui Link dans un endroit sombre où réside une épée, et c’est ainsi que l’histoire commence, étant obligé de prendre cette épée pour affronter le Shadow Link, mais c’est surtout là que le pouvoir de cette épée multiplia pour une seconde fois notre héros en quatre. Il faut désormais sauver les déesses et retrouver son apparence.
Et c’est dans le monde d’Hyrule, divisé en sept mondes comme un glacier, une forêt, un volcan, une plage, un désert, etc. de 3 niveaux chacun que l’aventure va se passer.

Oui contrairement à un Zelda classique, l’aventure se déroule ici sous forme de maps (niveaux). Chaque map sera soit un donjon, soit un village, ou alors un mix des deux. Les joueurs en manque de donjons dans Zelda : the Wind Waker seront ici aux anges, oui, oubliez le développement d’une trame scénaristique pour ce mode aventure qui sera donc une succession d’énigmes à résoudre, d’ennemis à tuer, de rubis à récupérer, et de boss à combattre pour libérer les déesses. Ce mode aventure a donc un grand air de Zelda 3, aussi bien dans le style graphique et dans le déroulement du jeu.

D’ailleurs, petite parenthèse, en parlant des graphismes, ces derniers sont sur un plan 2D, parfaitement dessinés et détaillés avec un petit air pastel (bien moins présent que dans Yoshi’s Island par exemple), de nombreux effets en 3D sont présents, tout comme les maisons ou autres « objets » étant en 3D, facilitant ainsi l’animation avec les effets graphiques,etc. (par exemple, courir dans un mur fera sauter une maison, et si l’un de vos Link est dans cette maison, il sera alors abasourdi un petit laps de temps). De même, de nombreux effets de distorsions sont présents, taper en concentrant votre marteau fera ainsi distordre l’écran et révélera les objets cachés sous ‘terre’ (ou sous ciel ;)). Bref, graphiquement, c’est vraiment beau, les effets graphiques pleuvent, tout est parfait. Graphiquement, sur la GBA(SP), lorsque vous passerez donc dans une maison, donjon, salle spéciale, etc., les graphismes sont beaux, plus détaillés et fins que Zelda 3 par exemple, mais si vous jouez sans GBA(SP), le rendu sur l’écran de la TV (via un GB Player simulé) est bien en dessous de la qualité d’un écran GBA(SP). Et concernant l’ambiance sonore, bon nombre de musiques cultes de cette série sont présentes sous forme remixées, mais conservant l’ambiance GBA(SP) /SNIN, ne vous attendez pas à des réorchestrations symphoniques par exemple ;), mais que de joie d’entendre entre autres, des thèmes de Zelda 3 et de Zelda : Ocarina of Time.

Fermons cette parenthèse et revenons à nos cocottes, à savoir le gameplay. En solo, vous dirigez 4 Link, en 2 joueurs, vous dirigez, 2 Link chacun et en 4 joueurs, un Link par joueur. Pourquoi ai-je omis le ‘3 joueurs’, simplement parce que en multi joueurs, vous pouvez ‘voler’ les Link des autres joueurs donc je vous laisse imaginer ce que cela donne ;)
Pour les joueurs dirigeant au minimum 2 Link, il est possible, via le bouton R puis une direction (ou R+une direction pour faire le changement automatiquement) d’exercer une formation. Quatre formations sont possibles, en alignement vertical, en alignement horizontal, en carré et en losange. Ces formations serviront lors de combat et aussi d’énigmes. Il est aussi possible, pour ces mêmes joueurs de diriger momentanément un seul Link en appuyant sur X (ou select sur la GBA(SP), freezant ainsi les autres, mais appuyer de nouveau sur ce même bouton permettra de sélectionner le Link suivant en sa possession et ainsi de suite.

Vous l’avez compris, les énigmes prennent une toute autre dimension, surtout si en plus je vous parle de la connectivité NGC->GBA.
Les quatre Link sont obligés de rester dans le même écran sur la TV, le passage à l’écran suivant se faisant lorsque tous les Link sont vers le changement d’écran voulu. Mais cela ne veut pas dire que vous êtes limité, car entrer dans une maison, dans une grotte, tomber dans un trou ou plus tard passer dans le Dark World fera de la GBA(SP) votre écran de jeu. De quoi rendre les énigmes encore plus farfelues...surtout si en plus je surenchéris en vous énonçant que celles-ci changent en fonction du nombre de joueurs !
Un exemple :
En 1 joueur, à un moment donné d’une map, il faut ouvrir un passage avec des bombes. En prenant ce passage, il faut tirer dans des yeux servant d’interrupteurs avec l’arc. Jusque là, c’est une énigme des plus banales.
En mode 2 joueurs, il faut ouvrir ce même passage avec la bombe. Une fois rentrée dans la grotte, rien de visible à part du vide. C’est là qu’un de vos compagnons ouvrira un passage plus à droite avec une bombe, rentrera dans la grotte et verra les yeux…Eurêka ! Il doit vous guider en fonction de la hauteur de votre tir car lui il peut voir votre flèche qui arrivera alors sur son écran plus ou moins près d’un des yeux.
Cet exemple assez banal mais bien concret dans l’explication, vous pouvez ainsi comprendre toute la subtilité des énigmes, et je ne vous parle pas de celles utilisant le Dark World, je vous laisse entièrement la surprise ! Un régal, c’est une sorte de nouvelle expérience en tant que joueur ?. Sans oublier que l’arc, le boomerang, la plume, les bottes de Pégase, le marteau, les médaillons comme celui de l’ether, la canne de feu, la lanterne, les bombes, le bracelet de force, etc. sont présents, chaque joueur ne pouvant prendre qu’un seul item qui sera affecté au bouton R (les items et cœurs supplémentaires disparaissant à la fin de la map comme dans Zelda Four Swords). De plus il sera possible de passer pour la résolution de certaines énigmes au niveau 2 de l’item possédé, les bottes de Pégase permettant alors de courir sur le vide, la canne de feu permettant alors de faire des blocs (comme la canne de Somaria de Zelda 3), etc.

Mais attention, car toutes les énigmes ne seront pas à base d’interrupteurs ou pseudo interrupteurs, et d’items mais les villages permettront d’élargir tout ça. Par exemple, il faudra ramener à un vieillard une cocotte pour que celui ci vous donne le bracelet de force qui vous permettra de soulever un arbre qui donnera ensuite accès à une grotte…où le résident n’est autre qu’un voleur qu’il faudra enfermer dans le poulailler,etc. Donc oui la compréhension du japonais peut aider, et se révèle surtout indispensable pour une énigme où un Kokiri demande de lui ramener trois objets choisis aléatoirement dans un ordre précis…je peux vous dire que je fus content qu’un de mes copains présent à ce moment eut quelques notions de japonais (une image avec la traduction des objets sera disponible à la fin du test).

Donc vous l’avez compris, ce Zelda joue la carte des énigmes, la plupart très originales et nouvelles, avec des donjons et des environnements à gogo (plus de 20 maps bien différentes !). Il m’a fallu une bonne vingtaine d’heures pour fini ce mode aventure, ce qui est bien plus long qu’un Zelda 3 par exemple. Sans oublier, en plus des divers environnements, les rencontres des Gorons, des Kokiri, des Gerudo, de Talon et de son oncle, et même du maître d’armes de Zelda : The Wind Waker seront de la partie, mais je vous en laisse la surprise ;)

Pour finir une map, il faudra obligatoirement posséder plus de 2000 rubis cumulés entre les joueurs qui fera alors passer en Master Sword vos épées, sinon il sera impossible de briser le sceau de fin de niveau.
Je finirai concernant ce mode aventure par une petite pointe négative, par rapport à Zelda Four Swords sur GBA, le multi joueurs de la version NGC se révèle moins fourbe car la trame scénaristique est plus présente et oblige ainsi les joueurs à plus de coopération. Il est toujours possible de balancer un joueur concurrent dans le vide pour lui voler ses rubis, de lui demander de l’aide pour soulever un gros bloc ou tirer un énorme levier pour faire apparaître un gros rubis et ensuite de lui donner des coups d’épée et de le voler en toute modestie pendant que l’autre joueur hurle de dégoût, et il est même désormais possible de le prendre et de s’en servir comme arme contre les ennemis, moment mort de rire car vous voyez votre ami se débattant sur la GBA(SP) pour échapper à ce coup de votre part…mais le déroulement des actions restent moins fourbe que la version GBA. Mais heureusement le mode Shadow Link vient rétablir cette situation.

Ce mode de jeu, uniquement jouable de deux à quatre joueurs et accompagné d’autant de GBA(SP), permettra de s’affronter dans cinq arènes (plus cinq déblocables une fois le mode aventure fini). Tous les coups sont permis, le survivant sera désigné comme vainqueur. Les niveaux sont enrichis par la connectivité, qui permettent par exemple de rentrer dans une grotte pendant que les autres joueurs se combattent, pour appuyer sur un interrupteur qui fera apparaître une traînée de lave fatale aux joueurs s’en servant comme source de chaleur. Ceci n’est qu’un exemple parmi la dizaine disponible lors de ces combats. Il sera bien évidemment possible d’exciter des cocottes puis de se cacher dans une maison en refoulant tout individu qui essayera de se protéger de la cinquantaine de poulaille présentes à l’écran, ou alors de chevaucher Epona.
C’est donc du combat, vous n’avez que cinq cœurs qui partent à une vitesse folle ; bref, rapide efficace et sobre même si je trouve que ces combats manquent de subtilité et se révèlent assez bourrins ; et vos amis n’ayant pas l’habitude de jouer aux jeux vidéo pourront bien mettre une petite dizaine de parties avant de s’habituer à la vitesse de l’action et au changement d’écran entre la TV et la GBA(SP).

Tetra et sa clique vous invitent pour une aventure de chasse au trésor. Pour cela, même si vous jouez en solo, vous devez obligatoirement relier une GBA(SP), sous peine de ne pas pouvoir jouer. En mode un joueur, vous affronterez Tingle alors qu’en multi-joueurs, le nombre d’adversaires sera égal au nombre de vos amis.
Une fois votre nom entré (via des hiraganas), un mini jeu parmi plusieurs disponibles (comme du tir à la potiche, à l’arc, un jeu de mémoire avec des coffres, de la nage, etc.) sur la GBA(SP) permettra au(x) joueur(s) de collecter un maximum d’items. Parmi ces items, la plume permettant de sauter, les bottes permettant de courir, le marteau permettant de taper des switches soit débloquant des bonus, soit permettant de changer l’ordre des personnages à qui parler, ainsi que le ballon pour se téléporter ou alors un ticket de loterie qui servira une fois dans la partie seront de votre ressort.
Ensuite, après que la console choisisse un personnage bonus, qui permettra de cumuler plus de points, la partie commence, et ce pour 9 minutes. Le but du jeu est simple : parler à un maximum de personnes, mais à chaque fois parler a celle qui possède le chiffre le plus faible (il y a un maximum de cinq personnages sur la carte, et cent peuvent au maximum apparaître, arrivée au terme des cents personnages, la partie prend fin et un bonus se voit attribuer au joueur ayant parlé au dernier personnage).
Mais rien n’est aussi simple, même si l’écran de TV affiche la carte en globalité avec la localisation des personnages (et des fées entre autres), même si le speaker (Tetra, la porteuse de vase ou le Lion Rouge) commentant la partie vous donne des indices (difficiles à comprendre en japonais ;), la structure des maps de plus en plus complètes (au nombre de 12 une fois toutes débloquées) et surtout vos adversaires courant à vive allure et les changements de place des personnages via les switches freineront votre progression. Heureusement, des coffres contenant des rubis, ou des médailles combo aideront votre progression : parler à la bonne personne (donc possédant le numéro le plus faible sur la carte) avec un combo 3 vous validera les personnages, n, n+1 et n+2.
De plus, une loterie pourra vous permettre de gagner un combo +5 voir même un all+5 (combo +5 pour un laps de temps limité) si vous prenez le temps de tenter votre chance (organisée par le pirate qui tient le jeu de ‘toucher/couler dans Wind Waker) en regardant la TV et la GBA(SP) tout en continuant votre quête.
Oui, il faut regarder tout le long de la partie l’écran GBA(SP) sur lequel vous jouez mais aussi la TV qui est riche en informations (même en japonais, elles sont très simples à comprendre, hormis lorsque le speaker vous parle, etc.), et je peux vous dire que sans un minimum d’entraînement, switcher entre ces deux écrans se révèle assez être une perte de temps bien précieux et de plus assez dur à réaliser lorsque l’on n’a a pas l’habitude. Cela peut même faire tourner la tête à certains joueurs ;)
Mais que c’est bon et prenant. Du fun à volonté, des crises de rires de tous les côtés, des copains qui hurlent de dégoût.
…mais dommage, ce jeu ne sera pas disponible en version US et PAL aux dernières nouvelles…

Un mode aventure long et rempli d’énigmes, de donjons et de boss que l’on peu qualifier d’un coté de nostalgique par le style graphique et les énigmes, et d’un autre coté de semi révolutionnaire par les éléments apportés par la connectivité tels les énigmes et la façon de jouer ; un mode réservé au combat en multi joueurs pour digérer après une bonne pizza ; et un dernier mode de chasse au trésor vraiment fun même si un temps d’adaptation peut-être nécessaire pour certains joueurs et surtout les joueurs occasionnels, donnent à ce Zelda Four Swords une durée de vie et un fun vraiment optimals. Jouable en solo mais surtout jusqu’à quatre joueurs, cet épisode privilégie les énigmes au détriment du scénario, et offre de très bons moments de fun tout en rendant les fans de Zelda aux anges via les différents clins d’œil.
Dommage que Tetra et sa clique partent en mer pour la version US et PAL…Mais avec ou sans cette emputation, il restera un jeu qui change nos habitudes de 'simple joueurs' avec un simple écran, en etablissant un nouveau concept. ;)

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